Session 1/2
Les personnages des joueurs viennent de différents horizons
Akta (Petitof), un changelin métamorphe roublard spécialiste en infiltration, chantage et conspirations.
Argenthrixus (Mikus), un kobold d'à peine 75cm aisé vivant dans la ville de Veram.
Rendar (Jugaka), un goliath barbare un peu bourru mais avec un bon coeur qu'il vaut mieux avoir de son côté.
Viodriot (Locky), un hobgobelin barde à la peau rouge qui trouve toujours un toît au dessus de sa tête lors de ses nombreux voyages.
L'aventure commence sur l'île d'Orthea dans la ville de Veram, une ville tellement réputé pour son école de magie (il faut dire que c'est la seule de l'île) que ses habitants ou souvent fais un ou deux ans afin d'y apprendre quelques sorts mineurs pour les aider dans la vie de tout les jours et leurs emplois.
Les joueurs ont tous en point commun d'avoir eu vent d'une annonce qui parlerait de récuperer un artefact magique tombé entre de mauvaises mains.
Ils retrouvent l'employeurs dans la taverne du "poney qui tousse", il leurs explique qu'il est professeur et utilisait cette artefact, une statuette de griffon en crystal, pour enseigner les invocations aux meilleurs élèves qui s'en montraient dignes de confiance, il leur offre 400 pièce d'or pour le lui ramener.
Après que les joueurs aient fait jouer leurs relations, ils découvrent que la version des faits du professeur Maurin semble correspondre à ce qui ce serait passé, en revanche il semblerait que l'école n'était pas mis au fait du vol de l'artefact et que le professeur risque sa place.
Les héros arrivent au repaire des cultistes qui auraient volé l'artefact, l'une des première chose qu'ils voient est un groupe d'aventuriers, Locky arrive a les convaincre que le groupe de héros font partie de la secte mais ce n'est pas le cas des aventuriers, quand rapidement le ton commence à monter Argenthrixus prend les devants et les attaque avec un sort, s'en suit un combat assez compliqué pour le second groupe qui ce font décimé un par un, sauf le dernier qui c'est rendu en voyant tous ces collègues mourir et est donc ligoté à une table. Avec les informations apprises lors du combat et celles donné par le professeur, ils peuvent conclure que ce groupe n'es pas commissioné par la guilde officiel des aventuriers puisque les héros étaient censés être le seul groupe sur place.
L'exploration du reste du repaire ammène à la rencontre de Germain Baladeuse, un vieil oracle aveugle que la secte garde enfermé et semble questionner régulièrement en echange d'être logé et nourri, ainsi qu'à un prisonnier nommé Elias qui paniqué supplie les héros de le liberer de sa jôle, il ne peux pas l'affirmer avec certitude mais il pense qu'il est gardé afind d'être sacrifié dans un rituel sinistre.
En viens un moment ou Akta se retrouve pris au piège dans un couloir avec des pointes qui semblent se rapprocher, piège qu'il arrive à désactivé au dernier moment. Le couloir menais en réalité sur une porte donnant sur la salle des coffres, au moment de crocheter la serrure le roublard entend du bruit de l'autre côté et décide d'attendre ses compagnons avant d'entrer. Une fois la porte ouverte ils voient les différentes richesses étalées partout, mais aussi que la salle semble être gardée par un spectateur (une sorte de tyrranoeil)
S'en suit un combat ou les héros attaquent le spectateur sans relache, qui lui projette des rayons de chacun de ses tentacule, paralysant Argenthrixus, blessant Akta, effrayant le Barbare qui déjà au corps à corps décide de reprendre son courage à deux mains afin d'arriver à le frapper avec sa hache coupant un tentacule au passage, mais ce n'est pas avant qu'il ai le temps de renvoyer son propre sort à Viodriot qui arrive à y résister tant bien que mal.
Les héros ont trouvé au fil du repaire 2 des 3 clés qui permettraient d'ouvrir une porte lourdement blindée de laquelle ont entend des bruits sourds, mais dont l'artefact ce trouve probablement derrière.
Après avoir térassé le spectateur, ils peuvent enfin s'emparé des richesses qui jonchent la salle, sans se priver de prendre un ou deux souvenir sur le cadavre du spectateur mort.